La station soviétique Mir
est la première station spatiale modulaire conçue
pour une occupation permanente de l’espace par l’homme. Contrairement aux premières
générations Saliout, Mir est dotée de plusieurs ports d’amarrage, ce qui autorise
l’accostage de plusieurs vaisseaux en même temps. Cela permet la relève des équipages
du complexe orbital. Outre les
vaisseaux Soyouz, Mir pouvait accueillir les ravitailleurs Progress facilitant ainsi
les missions de longue durée.
A compter de février 1987, la station Mir sera occupée durant trois périodes prolongées
jusqu’à sa désintégration en mars 2001. Tout au long de son exploitation, elle a offert
le séjour à 104 personnes issues de 20 pays différents.
L’architecture de Mir repose sur l’assemblage de plusieurs modules habitables.
En plus du module central hérité de Saliout 7, elle est composée de cinq autres
modules scientifiques issus du programme Almaz. Plus tard s’ajoutera un module
supplémentaire pour l’amarrage de la navette spatiale américaine.
Le module principal de la station Mir est lancé en février 1986. Le mois suivant,
l’équipage de Soyouz T-15 est le premier à y séjourner. Plus tard, il ralliera
Saliout 7 pour récupérer des équipements scientifiques qui doivent être rapatriés
à bord de Mir.
La Station Spatiale Internationale résulte de
l'assemblage de plusieurs modules transportés dans l'espace. Sa construction
a débuté en novembre 1998 avec Zarya, le premier
module du
Segment Orbital russe, lancé par une fusée Proton.
Les américains ont transporté leurs modules dans la soute de leurs navettes spatiales,
notamment le module Unity qui
a été raccordé au module russe
Zarya en décembre 1998.
Avec le lancement en juillet 2000 du module de service
Zvezda
par une fusée Proton,
la station spatiale est devenu opérationnelle en permettant l'hébergement du premier
équipage permanent.
Dans le cadre de la coopération russo-américaine, la
navette Atlantis a convoyé en mai 2010 le module russe
Rassvet lors de la mission STS-132.
La Station Spatiale Internationale a pour vocation
de fournir à un équipage d'astronautes un milieu habitable dans l'espace pour des
séjours de longue durée. En novembre 1998, une fusée Proton a lancé le module Zarya
(L'aube) auquel les américains ont raccordé le module Unity le mois suivant.
La Station Internationale est devenu opérationnelle en juillet 2000
avec l'ajout du module de service Zvezda (L'étoile). Pendant 20 ans, les équipages
internationaux ont décollé depuis la terre, soit à bord d'une navette américaine,
soit à bord d'un vaisseau spatial Soyouz de technologie russe.
Neuf ans après l'arrêt des navettes spatiales, un nouvel acteur américain, SpaceX,
a réussi son entrée dans le domaine du transport spatial habité avec un équipage embarqué
à bord d'un vaisseau Crew Dragon,
le 30 mai 2020. Pour rejoindre l'espace, Crew Dragon dispose de la
fusée Falcon 9, développée par
la société SpaceX. Le lanceur Falcon comprend deux étages propulsés par des moteurs Merlin.
Les vaisseaux Soyouz
et leurs équipages sont propulsés par le
lanceur Soyouz qui assure aussi le décollage des vaisseaux cargo Progress. Les
premiers Soyouz ont assuré la desserte des stations orbitales russes Saliout et Mir.
Le vaisseau spatial
comprend un module de propulsion et d'avionique, un module central de descente avec
un bouclier thermique et un module orbital avec un système d'amarrage et une écoutille
pour passer dans la station spatiale. Durant le lancement, les cosmonautes sont logés
dans le module de descente qui possède un compartiment parachute pour le retour.
L'Union astronomique internationale a approuvé les noms d'une douzaine de sites de l'Astéroïde Bénou.
Lors de son introduction au Japon, la fête de Tanabata
consistait en une cérémonie de cour durant laquelle les nobles s’adonnaient à la poésie
en admirant les étoiles. Mais au cours de l'époque d’Edo (1603-1867), la coutume s’est
élargie et une tradition populaire japonaise est née, consistant à écrire un vœu sur une
carte (tanzaku) et à l’accrocher à un bambou.
La Fête des étoiles du 7 juillet correspond à la période de l’année où l'étoile
Véga, de la
constellation de la Lyre, et Altaïr, de la
constellation de l’Aigle,
séparées par la Voie lactée, sont particulièrement belles à observer dans le ciel au sud.
D’après une légende chinoise, Orihime, la tisserande, et Hikoboshi, le bouvier, se marient peu après leur rencontre. Mais ils commencent tous deux à négliger leur travail. Orihime arrête de tisser des vêtements pour son père, le Seigneur du Ciel, et Hikoboshi laisse ses vaches se disperser. Mécontent de leur attitude, le père d’Orihime sépare le couple de part et d’autre de la Voie lactée, telles les étoiles Véga et Altaïr, mais leur accorde le droit de se retrouver une fois par an.
Considéré comme un des « Opera buffa »
les plus réussis,
« L’Elixir d’amour » réalise un équilibre parfait entre l’efficacité
comique du livret et la subtilité de l’écriture musicale.
Donizetti s’affranchit du modèle rossinien pour explorer le champ de la comédie
sentimentale comme en témoigne le traitement des deux protagonistes, Nemorino et
Adina. Dans le soin apporté à la crédibilité psychologique de ces personnages,
on décèle les apports du lyrisme romantique caractérisé par un ton de mélancolie
et une justesse dans la peinture des sentiments déjà à l’œuvre dans les drames de
Donizetti.
La découverte du merveilleux dans la littérature doit encourager les jeunes
générations à étudier l'héritage fabuleux de la culture antique et médiévale.
Voici un récit d'aventure inspiré de « Tristan et Iseult » écrit
par une élève de 5ème.
Pour découvrir l'histoire, cliquez sur le médaillon celtique à gauche des
diapositives !